samedi 12 février 2011

Une averse passagère





Tout le monde court, tout le monde se réfugie sous les abris des restaurants,
serré, les bras le long du corps et attend.

L'eau ruisselle des toits, descend des gouttières, se jette dans les caniveaux,
se faufile entre les dalles.

Puis la pluie s'arrête.

Les rues sont lavées de la circulation des jours passés
Et toutes ces petites gouttes qui n'ont pas rejoint les autres renvoient les nouveaux rayons de soleil, donnant à la ville une lumière extraordinaire.




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